31 mai 2016

CFTC BPCE Sa: bureau "assis-debout" ! bizarre.

Le bureau "assis-debout" commence à séduire les Français

Entreprises  
Ouest France .fr
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·         Un journaliste de l'AFP travaille sur un bureau assis-debout. De plus en plus d'entreprises s'équipent de ce mobilier dans le monde. | AFP

Adopté depuis bien longtemps par les pays nordiques, le bureau "assis-debout" commence à séduire les Français.

  • Le bureau « assis-debout » est une véritable institution dans les pays nordiques. Doté d'un plateau qui s'ajuste automatiquement en hauteur, ce plan de travail s'adapte à la taille de chacun. Il permet de travailler debout devant un ordinateur, en alternant avec une position assise, ce que privilégient les spécialistes de l'ergonomie et les médecins. 

« Je ne pourrais plus retravailler assise. Je n'ai plus besoin de kiné alors qu'avant, j'avais tout le temps mal au dos », témoigne Delphine d'Evry, 38 ans, qui s'est lancée à Leers (Nord) dans la vente de ce type de bureau et équipe « principalement start up et PME ».

Créé au Danemark il y a 20 ans
  • A l'instar des filiales françaises d'entreprises danoises, pays où ce bureau est né il y a une vingtaine d'années et où la loi oblige les entreprises à le généraliser, la France commence à s'équiper.

La Saxo banque, filiale danoise d'un établissement bancaire, a doté ses employés de ces fameux bureaux, dans ses locaux de la rue de la Paix à Paris. « On évite fatigue et maux de dos, on est plus alerte, et on reste concentré plus longtemps », explique à l'AFP Andrea Tueni, 27 ans, responsable d'une équipe de self-trading.

Une grande enseigne suédoise a popularisé l'objet en France en 2014 en lançant un modèle à 569 euros (contre près de 2 000 euros pour les plus sophistiqués).

« Depuis deux ans, la France se rattrape », confirme à l'AFP Wilfrid Bodet, de Linak France, filiale française du groupe danois du même nom et grand fournisseur mondial de motorisations électriques pour ce type de bureau.

L'Allemagne, les USA et le Japon s'équipent massivement« Les banques et les assurances ont été les premières à l'adopter », précise-t-il, en se réjouissant de « plusieurs appels d'offres de grands groupes qui souhaitent équiper le marché français ».

« En Allemagne, où il existe depuis une dizaine d'années, la croissance est à deux chiffres ; aux Etats-Unis et au Japon, elle est exponentielle », ajoute M. Bodet qui dit avoir « équipé 500 000 bureaux dans le monde l'année dernière ».

Aux Etats-Unis, où Thomas Jefferson, l'un des pères fondateurs, travaillait déjà debout, mais où le fameux bureau 2.0 a d'abord suscité des réticences, Facebook propose même à ses salariés un spécimen doté d'un tapis roulant pour marcher à faible allure en travaillant.

  • Nouveau converti, Eric Randolph, 1,90 m, 34 ans, journaliste à l'AFP, souffrait lui aussi de lombalgies faute de bureau adapté à sa grande taille. « Je ne suis pas toujours debout mais j'ai rehaussé mon bureau de 40 cm et ça change tout. Je n'ai plus de problèmes de dos et ça génère du dynamisme », dit-il.

  • « J'ai même perdu quatre kilos » Pour son collègue Philippe Perdriau, 64 ans, qui travaille en vacations plusieurs heures d'affilée, ce bureau n'a que des avantages : « plus de mal de dos, un sommeil de bébé et beaucoup moins de fatigue. J'ai même perdu quatre kilos en six mois ».

Les risques d'une sédentarité accrue ont été mis en évidence depuis plusieurs années par de nombreuses études: dégénérescence musculaire, problèmes circulatoires, maladies cardiaques, diabète, cancer du colon, décès prématuré.

« Plus le temps journalier passé en position assise est élevé, plus courte est l'espérance de vie. Le monde de l'entreprise est le plus touché car c'est là que l'on est assis le plus longtemps », résume le Pr François Carré, co-fondateur de l'observatoire de la sédentarité en France, cardiologue et médecin du sport, auteur de « Danger sédentarité ».

La sédentarité augmente les risques 

  • L'une des études les plus citées a été publiée dans les Archives of Internal Medecine. Elle fait état d'une augmentation de 15 % de risque de décès prématuré pour la moyenne des sédentaires (huit heures par jour) et de 40 % pour les plus statiques (onze heures) par rapport à ceux assis moins de quatre heures, quand bien même ils pratiquent, par ailleurs, une activité physique. 

Notre Avis:

Au début de la lecture de l'article, on croyait que c'était un poisson d'Avril, mais ça n'a pas l'air.
alors ? 



26 mai 2016

CFTC BPCE Sa: Leçon d' économie !

Ça se passe dans un très petit village
qui vit du tourisme.
Mais, à cause de la crise économique,
il n’y a plus de touristes.

Tout le monde emprunte à tout le monde pour survivre.

Plusieurs mois passent, misérables.

Arrive enfin un touriste qui prend une chambre.
Il la paie avec un billet de 100$.


Le touriste n’est pas aussitôt monté à sa chambre
que l’hôtelier court porter le billet de 100$ chez le boucher,
à qui il doit justement cent dollars.


Le boucher
va aussitôt porter le même billet
au paysan qui l’approvisionne en viande.


Le paysan, à son tour,
se dépêche d’aller payer sa dette à la pute
à laquelle il doit quelques passes.


La pute boucle la boucle
en se rendant à l’hôtel
pour rembourser l’hôtelier qu’elle ne payait plus
quand elle prenait une chambre à l’heure.


Comme elle dépose le billet de 100$ sur le comptoir,
le touriste qui venait de dire à l’hôtelier
qu’il n’aimait pas sa chambre et n’en voulait plus,
ramasse son billet et disparaît.


Rien n’a été dépensé, ni gagné.

N’empêche que plus personne dans le village n’a de dettes.

25 mai 2016

CFTC BPCE Sa: Le rapport qui assassine les banques françaises


challenges.fr 

Publié le 25-05-2016 à 11h14Mis à jour à 11h20Par Pierre-Henri de Menthon



EXCLUSIF Le think tank libéral Génération Libre s’attaque à l’"oligopole bancaire". 
  • Surprotégés par des rentes entretenues par les pouvoirs publics, les grands établissements de crédit français seraient en réalité très fragiles.

 MEYER / A

Bas du formulaire
Après la Caisse des dépôts et Bpifrance, le think tank libéral GénérationLibre dirigé par Gaspard Koenig s’attaque au…. système bancaire français. 
Très fourni, ce document de 74 pages a été rédigé, par un groupe d’experts et d'"insiders" qui hélas resteront anonymes. 
Ce qui n’enlève rien à la qualité de l’étude, et lui permet d’avoir une liberté de ton certaine.
 Génération Libre n’hésite pas à évoquer d’entrée un "oligopole", le rapport étant carrément titré: "Casser la rente bancaire française. Pour un système bancaire plus sûr, plus concurrentiel, et plus européen".
Selon les auteurs "l’oligopole bancaire est porteur de risque systémique et échappe largement au regard critique de l’opinion et des medias". 
Les auteurs s’en prennent particulièrement aux pouvoirs publics qui soutiennent implicitement ces acteurs aussi bien au niveau national que via la Banque centrale européenne (BCE).
 Il est rappelé que selon les travaux du prix Nobel d’économie Robert Engle, trois des six institutions financières les plus "systémiques" du monde sont françaises, la plus exposée étant BNP Paribas. Le Crédit agricole et BPCE (Banques populaires-Caisses d’épargne) en prennent aussi pour leur grade, puisqu’elles jouissent d’une rente spécifique avec une "faible rémunération du capital et l’absence de risque d’OPA".
Trop grosses, trop protégées, ces institutions doivent aujourd’hui se remettre en cause "le gigantisme bancaire étant générateur de risques catastrophiques, ce qui appelle la vigilance". 
L’une des principales rentes dont bénéficient les "mastodontes" français, est le marché des particuliers, l’un des moins concurrentiels d’Europe. Génération Libre constate ainsi "l’existence de pratiques tarifaires contestables, voire très choquantes, de la part des banques françaises" y compris sur la gestion d’actifs. 
  • Une situation "guère contestée par les autorités publiques".

 En ce qui concerne le marché des clients professionnels, la situation serait pire, l’étude évoquant un "matraquage".

Un espoir fondé dans l'ubérisation

  • Pour assainir la situation, Génération Libre fonde beaucoup d’espoir dans "l’ubérisation": "Les nouvelles technologies, et le nouveau rapport aux services qu’elles permettent, condamnent à terme le maintien des rentes". 
  • La montée de la désintermédiation et des financements non bancaire est également saluée comme un progrès.

 Mais la principale urgence est la mise en place de la "séparation bancaire", (banque de détail-banque d’investissement) bloquée par le Parlement européen depuis mai 2015 et la relance d’une vraie politique de la concurrence dans le secteur.
En conclusion Génération Libre fait 18 propositions pour la réforme du secteur qui pourraient être regroupées dans une "loi Macron de la banque" permettant notamment de faciliter l’arrivée des Fintech ou de créer un fichier positif, permettant d’améliorer la relation avec les clients. 
Une plus grande transparence tarifaire, notamment pour les clients PME, est également proposée.
On attend la réaction de la Fédération bancaire française, de la Banque de France, de Bercy etc. 
Le mérite du rapport est de faire avancer le débat, largement ouvert avec la crise de 2008, mais qui semble s’être refermé. 
La campagne présidentielle est un cadre propice pour secouer un peu nos amis de la finance.


CFTC BPCE Sa: Questionnaire à BPCE SA

Le nouveau Secrétariat général veut faire un état des lieux en vous  questionnant sur vos conditions de travail, 



Que pensez-vous des vos conditions de travail ( bureaux, open space) des budgets qui vous sont attribués, de nombre de prestataires, du nombre de niveaux hiérarchiques ( niveau de délégation de responsabilité et d'autonomie), de l'organisation de la transversalité ( connaissance de l’organigramme et des domaines d'activités des Directions) .................... ?

"exprimez vous ou ne vous plaignez pas de ne jamais être écoutés !"


Il sera temps plus tard de tirer les conclusions de cette consultation.


Questionnaire aux collaborateurs : bientôt 1000 réponses

20/05/2016

Merci aux 943 personnes qui ont déjà répondu au questionnaire adressé à l’ensemble des collaborateurs de BPCE SA le 3 mai dernier. Il reste accessible jusqu’au 31 mai inclus.

24 mai 2016

CFTC BPCE Sa: Agenda de la semaine du 23 au 27/5

La section  CFTC de BPCE Sa vous souhaite une bonne semaine.

Au programme:

Jeudi:
  • Comité d'Entreprise.
    • Ordre du jour.

1-      Approbation des procès-verbaux du 28 avril (réunion extraordinaire et ordinaire) et du 4 mai 2016

2-      Présentation de l’accord groupe sur le parcours des représentants du personnel du 28 janvier 2016 

3-      Information consultation sur le bilan de la formation professionnelle au titre de l’année 2015 
­          rapport de la Commission emploi formation
­          débats et recueil d’avis

4-      Consultation sur le rapport égalité professionnelle de l’année 2015 
­          rapport de la Commission emploi formation
­          débats et recueil d’avis


5-    Information consultation du Comité d’Entreprise sur les demandes de dérogation au repos dominical et jours fériés  

Ø  Information consultation du Comité d’entreprise sur des demandes de dérogation au repos dominical  
·         Direction Communication Groupe : Jeux Olympiques de Rio

Ø  Information consultation du Comité d’entreprise sur des demandes de travail un jour férié   
·         Direction Communication Groupe : Jeux Olympiques de Rio
·         Direction Finances Groupe – GAP Groupe : production réglementaire du LCR
·         Direction des Risques, Conformité et Contrôles Permanents – Révision Finance : arrêté comptable du 1er semestre 2016
·         Direction  Finances et Opérations – Comptabilité Groupe : arrêté comptable du 1er semestre 2016
·         Contrôle de Gestion Stratégique Groupe – Comptabilité et activités bancaires : arrêté comptable du 1er semestre 2016

6-      Compte rendu du Conseil de surveillance du 8 mai 2016


7-      Compte rendu du séminaire de Conseil de Surveillance du 5 au 9 mai 2016

( récit de voyage: Le secrétaire du CE, invité de F Pérol, nous parle de Californie ! )

Jeudi encore !

Loi travail: Journée d'action le 26 mai et manifestation nationale à Paris le 14 juin

23 mai 2016

CFTC BPCE Sa, Infos Groupe: Caisse d'Epargne, grèves des CRC de Saint Germain et d'Evrry.


JUBA; Merci pour  l'info
si vous aussi vous avez d'autres infos syndicales concernant le Groupe n'hésiter pas ce blog sert aussi à ça.
"CFTC être utile"

20 mai 2016

CFTC BPCE Sa: Un tiers des emplois touchés par la révolution numérique

Selon l'OCDE, 9 % des emplois pourraient être remplacés à terme par des robots. Au total, 30 % vont devoir profondément évoluer pour ne pas être emportés par la numérisation, soit près de 2,4 millions.
par Emmanuelle Souffi  19/05/2016  Liaisons Sociales Magazine

Un tiers des emplois touchés par la révolution numérique
C’est la grande peur du moment. Finira-t-on tous remplacés par des robots, plus performants et dociles que l’homme ? L’OCDE n’y croit guère. Selon l’organisation internationale, plus que le chômage technologique, ce sont de profonds changements dans la nature même du travail, la composition de l’emploi, la productivité, les rémunérations, et les perspectives de carrière qui sont à redouter avec la numérisation de l’économie. « Cette évolution risque d’augmenter les inégalités sociales », estime ainsi Stefano Scarpetta, directeur de l’emploi, du travail et des affaires sociales.
Les moins qualifiés les plus menacés
A rebours de certaines études catastrophistes, comme celle des économistes Frey et Osborne pour qui 47 % des emplois américains sont menacés par la révolution numérique, l'OCDE se veut moins alarmiste.Dans une étude rendue publique le 18 mai, l’OCDE estime ainsi que 9 % des emplois en France présentent un "risque élevé de substitution" par l’automatisation (70 % de tâches substituables).
 Les plus en danger sont des postes peu qualifiés et occupés par des travailleurs faiblement diplômés. « Si 40 % des travailleurs avec un niveau d’instruction inférieur au deuxième cycle du secondaire occupent des emplois ayant un fort risque d’automatisation, moins de 5 % des travailleurs diplômés de l’enseignement universitaire sont dans le même cas », notent les experts.
Schumpeter
L’institution ne néglige pas pour autant l’impact de la numérisation de la société avec l’émergence des plateformes collaboratives et l’essor du travail indépendant. Mais aux risques de destruction d’emploi, elle préfère opposer l’effet créateur que peuvent générer ces nouvelles opportunités économiques, dans un esprit très schumpétérien. « Selon certaines estimations, chaque emploi créé par le secteur de la haute technologie entraîne la création d’environ cinq emplois complémentaires », évaluent les économistes.
Former en masse
Au total, en France, près de 30% des emplois devront, au minimum, évoluer sérieusement pour ne pas être emportés par la vague numérique. Il s’agit de postes dont 50 à 70 % des tâches peuvent être automatisables.
 Cela représente environ 2,4 millions d'emplois contraints à s’adapter. Pour l’OCDE, qui prépare sa nouvelle stratégie pour 2019, l’enjeu va être de former en masse ces salariés pour leur éviter de basculer dans la précarité. « Face aux risques de rupture, le véritable défi est d’adapter les compétences de ceux qui sont déjà sur le marché du travail, relève Stefano Scarpetta. 
En France, on dépense beaucoup pour la formation continue, mais comparativement aux sommes engagées peu de gens sont formés. »
Alors que le gouvernement est englué dans les débats sur la loi El Khomri et que le compte personnel de formation n’a toujours pas trouvé son public, une vraie réforme systémique de la formation professionnelle n'a toujours pas été réellement engagée.

Notre avis.
Nous pouvons lire partout que le digital est en train de révolutionner une très grande partie des métiers.
 Ce sont pas les très médiocres informations que nous avons reçus lors du comité de Groupe dédié à ce thème,ni les incohérences d'organisations internes ( présentation au dernier CE) liées au domaine qui nous rassurent sur l'anticipation réelle de cette révolution.
En fait, la seule action concrète perçue par nous sur le sujet à BPCE Sa, n'est  que le voyage du Conseil de surveillance parti surfer sur la vague digitale des côtes Californiennes !

19 mai 2016

CFTC BPCE Sa : Retraite,Calcul des points Agirc-Arrco en cas de maladie,maternité ou accident de travail




Les institutions de l'Agirc et de l 'Arrco ont décidé de simplifier le calcul des points de retraite attribués gratuitement au titre de l'incapacité de travail.
En cas d’arrêt de travail pour maladie, maternité ou accident du travail de plus de 60 jours consécutifs, le salarié bénéficie de points de retraite complémentaire Agirc et Arrco gratuits (sans contrepartie de cotisations).
Chaque jour d’arrêt de travail donne lieu à l’attribution d’un nombre de points correspondant à la moyenne journalière des points obtenus au cours de l’année civile précédant celle de l’incapacité de travail.
Remarque : le nombre de points octroyés au titre de l’année qui comporte un arrêt de travail ne peut pas excéder le nombre de points acquis au cours de l’année précédente.

Actuellement,  les points retenus pour calculer cette moyenne journalière doivent avoir été acquis par le salarié dans des conditions d'emploi identiques à celles qui sont applicables lors de l'arrêt de travail : même employeur, même qualification de cadre ou de non-cadre et même durée du travail,
Si tel n’est pas le cas (en cas d’embauche, de  départ de l’entreprise ou de changement de statut professionnel par exemple), la moyenne journalière est calculée sur la base des seuls points correspondant aux conditions d’emploi identiques.
Par souci de simplification, les commissions paritaires de l'Agirc et de l'Arrco ont décidé de retenir tous les points de retraite complémentaire inscrits au cours de l’année précédente.
Ce nouveau mode de calcul s’appliquera à toute inscription de points au compte du salarié à compter du 1er juillet 2016.
 
Exemple : un salarié cadre est embauché en juin 2015.  Il tombe malade en septembre 2016 : il est en arrêt de travail pendant 70 jours consécutifs.
Sur l’année 2015, il a été occupé 210 jours par son employeur actuel . Toutefois, pour le calcul de la moyenne journalière, il sera retenu la totalité des points acquis sur  l’année complète de travail ( 365 jours), soit :
- 142 points Arrco ;
- 241 points Agirc.
La moyenne journalière des points Arrco est égale à : 142/365 = 0,39
La moyenne journalière des points Agirc est égale à : 241/365 = 0,66
Au titre de son congé maladie, ce salarié pourra  prétendre à l’attribution de :
- 27,30 points Arrco ( 0,39 × 70 ) ;
-  46,20 points Agirc ( 0,66 × 70) .


 Circ. Agirc-Arrco n° 2016-03-DRJ, 4 mai 2016

18 mai 2016

CFTC BPCE Sa: Agenda de la semaine du 17 au 20/5

La section CFTC de BPCE Sa vous souhaite une bonne semaine.
Au programme:

Mercredi:
  • Réunion des Organisations syndicales pour négocier, un nouvel accord triennal d'intéressement.
    • Date limite de signature 30/6/16.
    • Eléments négociés:
      • nombre d’indicateurs ( actuellement 5, pourrait passer à 6) 
        • ajout d'un baromètre de satisfaction des cadres dirigeants des maisons mères.
      • Assiette : DADS ou résultat net du groupe.
      • Détermination des seuils de déclenchement.
      • répartition individuelle et collective, actuellement 80/20
  • Position de la CFTC:
    • Pourquoi pas un questionnaire " baromètre de satisfaction" mais avec une pondération faible  et des objectifs très modérés au début, compte tenu du manque de repères et d'expériences, dans le contexte BPCE ( existait à BFBP et CNCE !)
    • choix: DADS, car moins susceptible d'évolutions défavorables liées à un contexte réglementaire très contraignant ( Dixit F Pérol)
    • Seuils de déclenchement, lisibles aisément par les salariés
      • 100% des objectifs réalisés - 100% du versement de l'intéressement prévu.
    • répartition: le plus de collectif possible

Info rappel : 

Les salariés de BPCE Sa, dans le cadre de la mission dévolue au nouveau secrétariat général, ont reçus à remplir un questionnaire (voir ci-après)


"Conformément à ce qui vous a été annoncé en fin d’année dernière, le secrétariat général de BPCE SA créé pour améliorer le fonctionnement de notre entreprise et optimiser nos forces est désormais en place. Il regroupe les équipes de la direction des Ressources humaines, du Pilotage budgétaire et du Programme optimisation de BPCE SA.

Son plan d’actions a été défini dans ses grandes lignes ; il me semble important de vous les communiquer dès aujourd’hui.  Les trois principaux axes de travail  sur lesquels nous allons nous concentrer sont les suivants :
  • Les missions que nous assumons en tant qu’organe central du Groupe : elles vont être progressivement passées en revue afin de vérifier que nous nous concentrons sur le cœur de nos métiers, et d’adapter les ressources engagées pour les réaliser, en charges et en effectifs. Nous examinerons les tâches à effectuer et chercherons toutes les solutions pour simplifier nos procédures et gagner en efficacité.
  • Le pilotage des budgets : la construction du budget 2017, qui va bientôt démarrer, sera réalisée en révisant l’ensemble des dépenses par rapport à chacune de nos missions. Les délais nécessaires pour tenir compte des priorités de chaque métier seront prévus pour la réalisation des arbitrages. Les dépenses de 2016 au-delà d’un seuil de montant seront challengées, même si elles sont prévues dans le budget, afin de calibrer les charges au plus près de nos besoins ; un processus de dépassement budgétaire va être mis en place pour pouvoir dégager rapidement les moyens nécessaires à des dépenses devenues incontournables qui n’auraient pas été budgétées.
  • La mobilisation de tous pour atteindre nos objectifs : nos actions porteront sur tous les aspects liés au fonctionnement de notre entreprise, en matière de management, de délégation, de mobilité interne, de fonctionnement en transversal et de gestion du quotidien. Nous vous proposons de participer directement aux réflexions sur les différentes actions possibles dans tous ces domaines. Pour ce faire, je vous invite à répondre à un bref questionnaire (Cf bouton ci-dessous) destiné à recueillir de manière totalement anonyme toutes propositions, idées et suggestions visant à améliorer le fonctionnement de BPCE SA. Votre contribution alimentera ce plan d’actions, qui vous sera présenté en détail en septembre.

Je vous remercie de votre implication pour répondre à ce questionnaire, et de votre soutien dans cette démarche importante pour notre entreprise. Je compte sur votre engagement personnel pour y participer activement, afin que nous puissions ensemble améliorer le fonctionnement et la performance de BPCE SA."

La Secrétaire Générale de BPCE Sa a signalé ce matin, lors de la réunion des OS, qu'environ 50% des salariés avaient répondu.
La CFTC à fait le choix de conseiller aux salariés de BPCE Sa de répondre à ce questionnaire, nous vous demandons donc de continuer à vous exprimer clairement sur les problèmes que vous rencontrés à BPCE et à ce que vous préconiseriez pour y remédier.
Si constatiez des anomalies dans cette consultation, n'hésitez pas à nous en faire part , vous savez que nous prenons toujours nos responsabilités .

17 mai 2016

CFTC BPCE Sa Infos: Roissy , réintégration des salariés licenciés


Roissy : cinq ans après, la justice ordonne la réintégration des salariés licenciés
Le Parisien.fr - Carole Sterlé | 12 Mai 2016
5790265_2c3dc9ae-1869-11e6-9ecd-9b90c69656d8-1_545x460_autocrop.jpgTribunal de Bobigny, août 2011. La direction d’Alyzia avait été assignée par la CFTC pour atteinte au droit de grève et divers troubles, comme le retrait de badges de salariés, mis a pied après leur participation à la grève. (LP/C.S.)

Une immense explosion de joie a envahi le greffe de chambre sociale de la cour d’appel de Paris, mercredi après-midi. D’anciens salariés d’Alyzia (une société d’assistance en escale basée à l’aéroport de Roissy) venaient d’apprendre en direct que leur licenciement prononcé il y a près de cinq ans était annulé et que leur réintégration dans l’entreprise était possible, en plus du paiement des cinq années de salaire.

« Quel soulagement, c’est un poids qui part, on n’arrivait plus à avancer… » Soupire Ali, 38 ans.

Ils avaient été licenciés pour faute grave en 2011, après un été orageux au sein de l’entreprise. La filiale était en passe de changer de maison mère. Les salariés craignaient des baisses de salaire et dénonçaient des recours massifs aux intérimaires. Après des débrayages, ils sont se mis en grève, un mouvement jugé illicite par la direction.

Les mises à pied n’ont pas tardé, des badges d’accès à la plate-forme ont été retirés et les lettres de licenciement ont commencé à partir. Officiellement, pour des retards. Mais pour les salariés visés, il s’agissait de représailles contre les grévistes les plus actifs, ceux de la piste notamment, en charge de l’équilibrage des avions. Quelques mois plus tard, l’entreprise avait d’ailleurs fait l’objet d’un signalement à la Cnil pour « fichage syndical ».

En juillet 2012, le conseil de prud’hommes de Bobigny saisi en urgence, ordonne la réintégration de six salariés qui avaient été licenciés pour « faute professionnelle ». Mais douze autres, renvoyés pour « faute grave », restent sur le carreau.

Alors, ils attaquent au fond. La procédure aura duré plusieurs années. Dans un premier temps, certains licenciements sont requalifiés mais aucun n’est annulé. L’affaire se replaide alors devant la cour d’appel de Paris. Qui tranche finalement en leur faveur : « Les retards relevés ne peuvent caractériser un motif sérieux de licenciement, dans ces conditions, l’employeur n’établit pas que le licenciement était justifié par des éléments objectifs étrangers à toute discrimination et spécialement l’exercice normal du droit de grève », motive la cour dans plusieurs arrêts du 11 mai.

Elle annule le licenciement et dans ce cadre, « la réintégration du salarié est de droit si elle est demandée ». « Justice leur est rendue ! », se réjouit Me Halim Bekel, au sujet des salariés qu’il défend depuis plus de cinq ans. Et qui peuvent désormais espérer une réintégration.

« Je suis impatient », confie Ali, qui vivote de missions en intérim depuis cinq ans. D’autres sont plus mitigés : « On se dit qu’il y a de la justice, mais de là à retravailler pour des gens qui nous ont considérés comme des incapables… Je ne pense pas. » A défaut de réintégration des salariés d’ici deux semaines, l’employeur devra s’acquitter d’une astreinte de 100€ par jour de retard.

« Le groupe 3S, qui a repris la société Alyzia le 30 décembre 2011, a aussi hérité des contentieux de l’époque et respectera les décisions de justice en conséquence », assure, ce jeudi, la direction générale du groupe.

16 mai 2016

CFTC BPCE Sa : LUNDI DE PENTECÔTE : LA JOURNÉE QUI NE RAPPORTE RIEN


Presse - Communiqués de presse
12-05-2016


ferie2014.jpgSous l’affichage « journée de solidarité » a été instauré une taxe sur les salaires de 0,3%.
C’est ce prélèvement mensuel dit-contribution solidarité autonomie- qui rapporte plus de 2 milliards par an.

Quand un salarié se voit imposer de travailler une journée sans être rémunéré le calcul est simple : 0,3% de 0 égale 0.

Au-delà du principe inacceptable, faire travailler des salariés sans les rémunérer, cette mesure arbitraire se traduit concrètement par nombres d’aberrations.
Pour n’en citer que deux :
-    Est-il juste qu’un employé de supermarché puisse être obligé de travailler gratuitement un jour férié, alors qu’un agent de la SNCF est censé travailler 1 mn 52 de plus par jour pour s’acquitter de la journée dite « de solidarité »?

-    Pour quelle raison, les professions libérales ne sont-elles pas assujetties à une journée « dite de solidarité »?

Pour la CFTC, il est indispensable qu’un effort financier important soit fait au profit des personnes dépendantes et handicapées, encore faut-il que cet effort soit justement réparti et organisé.

Fondamentalement attachée au principe « tout travail mérite salaire », la CFTC couvre par un mot d’ordre de grève tout salarié du secteur privé que son employeur voudrait faire travailler gratuitement le lundi de Pentecôte ou tout autre jour qualifié de « journée de solidarité »

13 mai 2016

CFTC BPCE Sa: Les défis que posent les générations Y et Z aux ressources humaines



challenges.fr

Chloé Dussapt


Avec les attentes plus individualistes des générations Y et l'arrivée des Z, les ressources humaines vont devoir jouer les chefs d'orchestre pour concilier les attentes de tous et conserver un sens commun dans l'entreprise.


 VALINCO/SIPAVALINCO/SIPA



Que vont devenir les RH dans les années à venir? La question se pose d'autant plus que les entreprises doivent gérer plusieurs générations aux attentes et aux valeurs pour le moins divergentes, accompagner au mieux les 20/35 ans qui constitueront 50% des travailleurs en 2020 et 75% en 2025 et s'atteler à leur digitalisation. "Chez Orange, on croit que la fonction ressources humaines va être encore plus centrale dans ces transformations", croit Jérôme Barré, directeur exécutif en charge des ressources humaines et de la communication interne chez le géant des télécommunications. D'où l'initiative du groupe et des cabinets de conseil Oliver Wyman et Mercer de sortir un livre blanc sur l’évolution de la fonction Ressources Humaines à l’horizon 2020-2025. "Il faut gérer le fossé entre deux générations", constate Romain Bureau, partner chez Mercer.
Sachant que la nouvelle génération a une forte personnalité! Les Z et Y savent qu'ils n'auront plus un poste à vie. En conséquence, ils se construisent à titre individuel: quand ils sont en poste, ils apprennent tout ce qu'ils peuvent apprendre pour mieux se vendre ensuite -sachant que le premier niveau de carrière est passé de trois à un an/ un an et demi ; ils font primer leur développement personnel ; ils sont plus engagés mais moins fidèles ; et ne font plus de différence entre la vie professionnelle et la vie personnelle. "Ils veulent piloter la chose et tout décider", note Romain Bureau. (Ceci est bien entendu un profil caricatural pour donner une idée du profil des nouvelles recrues, chacun gardant sa propre personnalité…)
Fort de ce constat, voici quelques pistes pour que les RH s'adaptent au mieux:

Renforcer la dimension collective

"Le défi pour les RH est de gérer l'écart entre 'l'émiettement individuel' du salarié qui devient un client et conserver un sens commun", analyse Emmanuel Amiot, partner chez Oliver Wyman. Dans le livre blanc, les auteurs jugent que ce sera "sans doute la plus essentielle de toutes les missions gérées par les RH de demain". Comment? En créant une "raison d'être" pour fédérer l'ensemble des troupes autour d'une culture d'entreprise. Et ce, d'autant que 92% des générations Y rejettent le profit comme unique mesure de performance. Cela "amènera les entreprises à revoir leurs référentiels managériaux", prévient l'étude.

Personnaliser l'offre RH

Le RH de demain devra satisfaire "les multiples univers de collaborateurs de manière personnalisée". Comment? En adoptant une écoute plus segmentée des différentes générations pour comprendre leurs attentes et leurs moteurs de motivation. L'utilisation du "Big data" sera très utile pour mieux comprendre ce que les plus jeunes espèrent en termes de rémunération, congés, durée de travail, etc.

Mettre le développement personnel au centre des préoccupations

65% des salariés de la génération Y considèrent les opportunités de développement personnel comme le critère majeur pour choisir une entreprise. Pour attirer les talents, les RH devront axer leurs efforts non sur l’emploi mais sur la compétence. Ce qui implique, selon le livre blanc: "connaître l’ensemble des compétences de chacun en temps réel, mettre en place des 'pools' de compétences, encourager les mobilités horizontales entre fonctions ou entre divisions, renouveler la formation, etc."

Rendre les organisations de travail plus agiles

"Le sujet s'accélère sous une impulsion venue des Etats-Unis, assure Emmanuel Amiot. Les modèles composés autour d'un organigramme avec trop d'échelons sont des repoussoirs". Pour les auteurs du livre blanc, les entreprises ne devraient pas compter plus de quatre niveaux hiérarchiques. De plus, on apprend que la jeune génération aspire à travailler dans de petites équipes (74% des Y). "Tendre vers une société 'libérée' est un immense défi et tout le monde s'interroge encore sur le sujet. Le collaborateur ne sera plus forcément un salarié interne en CDI, mais un externe, appelé pour une mission précise. Le monde du leadership change", souligne Emmanuel Amiot.

Révolutionner le métier de manager

Cette évolution va profondément modifier le métier même de manager. Chaque collaborateur aura, en effet, plus de responsabilités et un champ d'action plus ouvert. "Pour que ça fonctionne, les RH devront donner aux managers d'autres formes d'objectifs qui prennent en compte la satisfaction client [le salarié étant également considéré comme un client, ndlr] et plus seulement leur chiffre de ventes par exemple", indique Jérôme Barré, DRH d'Orange.

12 mai 2016

CFTC BPCE Sa: Tract questionnaire en vue de " l"optimisation" de l'organe central.

Voici le tract que nous avons diffusé ce jour à BPCE Sa:





Notre analyse complémentaire:

La CFTC a réclamé dans toutes les instances du Groupe où elle était présente, la reconnaissance de BPCE Sa, comme une entité à part entière du Groupe.
  • La nomination d'une secrétaire générale répondait à ces vœux. 
  •  La SG a souhaité, commencer sa mission d'optimisation de l'organe central en questionnant les salariés afin d'établir un état des lieux.

Nous ne pouvions reprocher à celle-ci toutes les erreurs passées et avons souhaité nous engager dans la démarche en demandant aux salariés de remplir les questionnaires.
  •  Nous ne l'aurions pas fait avec la précédente DRH.
Nous ne signons toutefois pas un blanc seing et serons vigilants sur la méthode, les analyses et sur les mises en œuvres liées aux conclusions.
à suivre donc !!!

11 mai 2016

CFTC BPCE SA: Profits en berne chez BPCE et Natixis, Pérol réfléchit à un plan

Reuters France

mardi 10 mai 2016 10h40

Le groupe mutualiste BPCE et sa filiale de banque d'affaires Natixis annoncent mardi une chute de leurs profits, respectivement à 578 millions d’euros et à 200 millions d'euros, au cours d'un premier trimestre marqué par la volatilité des marchés financiers et des taux d'intérêts historiquement bas. /Photo d'archives/REUTERS/Philippe Wojazer

par Julien Ponthus et Maya Nikolaeva

PARIS (Reuters) - Le groupe mutualiste BPCE et sa filiale de banque d'affaires Natixis ont annoncé mardi vouloir accroître leur productivité après avoir enregistré une chute de leurs profits lors d'un premier trimestre marqué par la volatilité des marchés financiers et des taux d'intérêts historiquement bas.
  • "La persistance probable des taux bas pendant une période longue conduit le groupe à lancer une réflexion approfondie sur un nouveau programme de transformation et d'excellence opérationnelle", a déclaré le président du directoire du groupe dans un communiqué.
Accélération de la digitalisation, synergies intra-groupe et réduction du nombre de structures juridiques sont autant de pistes pour un plan qui, pour l'heure, ne fixe aucun objectif en terme d'économies ou d'emplois, même si la tendance est claire.
"En ce qui concerne les métiers de banque commerciale (...) l'emploi dans ces métiers en France ne va pas progresser, il se trouve que les prochaines années se caractérisent par des départs relativement nombreux à la retraite", a expliqué François Pérol lors d'une conférence téléphonique. "Nous saurons exploiter ce contexte pour gagner en productivité sur l'ensemble des réseaux du groupe", dont le réseau d'agences poursuit son recentrage, a-t-il dit.
BPCE, qui regroupe notamment les réseaux des Caisses d'épargne et des Banques populaires, a vu son produit net bancaire reculer de 4% à 5,787 milliards alors que son résultat net est en retrait de 10,5% à 578 millions d’euros.
Natixis, dont le résultat net a baissé de 30% à 200 millions d'euros a déjà lancé une vaste redistribution des postes clés à plusieurs niveaux de sa direction et compte poursuivre sa réorganisation au niveau opérationnel.
Laurent Mignon, le directeur général de la banque, évoque pour la filiale une "transformation de nos process dans chacun de nos métiers", dont les effectifs pourront être revus au cas par cas et par géographie, à la hausse comme à la baisse.
"Ce qui est sûr c'est qu'il faut produire plus d'activités avec des moyens plus efficaces", a-t-il dit sans vouloir préciser si les effectifs diminueraient.
En Bourse, l'action Natixis décrochait, accusant une baisse de 6,61% à 4,096 euros à 09h40.
"Avec un ROTE (return on tangible equity) de 9,1%, la société peinera cependant à atteindre un objectif de 11,5% en 2017, d’où sans doute l’annonce du lancement d’un projet de transformation et d’excellence opérationnelle non précisé à ce stade", a commenté un analyste, pour qui Natixis résiste néanmoins "correctement" à un environnement difficile.
Un autre analyste estime que les attentes du marché en terme de résultats et dividende pour l'exercice 2016 ont peut être été surévaluées.
Natixis entend poursuivre sa stratégie dite "asset light", soit le développement d'activités peu gourmandes en capital comme le conseil et la gestion d'actifs, rémunérateurs en commissions et où les risques sont par définition plutôt assumés par les clients.
C'est dans son pôle Banque de grande clientèle où se logent les activités marchés que Natixis enregistre sa plus mauvaise performance du trimestre, avec une baisse des profits avant impôts de 20% à 202 millions d'euros. A l'inverse, les activités dans l'épargne et les services financiers spécialisés ont mieux résisté.
  • Ses participations financières ont aussi pesé, notamment celles dans l'assureur-crédit Coface dont les résultats ont chuté au premier trimestre.

La bourrasque financière du début de l'année a en outre pesé sur de nombreux établissements bancaires, surtout ceux spécialisés dans les activités de marchés, et donné lieu à de multiples annonces de lourdes restructurations en Europe.
  • BNP Paribas et Société générale ont pour l'heure tiré leur épingle du jeu avec des profits en hausse, notamment grâce à leur banque de détail.

Ces établissements, néanmoins, poursuivent ou accélèrent des plans d'économies pour faire face à un contexte réglementaire et économique attendu difficile ces prochaines années.
(Edité par Jean-Michel Bélot)

Notre avis:

Pour l'instant F Pérol est parti réfléchir à son plan, une semaine en Californie avec le conseil de Surveillance de BPCE Sa et en invité surprise le secrétaire du Comité d'Entreprise.
Pour commencer les économies, ça nous parait pas forcément de bon aloi !!!