30 octobre 2015

cftcbpcesa: Retraites complémentaires: les salariés incités à travailler un an de plus à partir de 2019


AFP le , mis à jour à 16:06

Le logo des régimes de retraites complémentaires Agirc-Arrco ( AFP / Philippe Huguen )

Incitation à travailler plus longtemps via un système de bonus-malus, moindre revalorisation des retraites, fusion des régimes Agirc-Arrco… : voici les principales mesures destinées à renflouer les caisses de retraites complémentaires.

Ce texte a été validé vendredi par le patronat (Medef, CGPME, UPA) et trois syndicats (CFDT, CFE-CGC et CFTC). Il vise 6,1 milliards d'économies à l'horizon 2020, ce qui limiterait le déficit des régimes à 2,3 milliards d'euros à cette date.
A partir de 2016:
- Moindre revalorisation des pensions pendant trois ans (1 point de moins que l'inflation), avec une "clause plancher" pour empêcher une diminution. La mesure devrait rapporter 2,1 milliards d'euros à l'horizon 2020.
- Date de revalorisation des pensions décalée au 1er novembre (au lieu d'avril): 1,3 milliard.
Principales données sur l'Agirc et l'Arrco en 2014
Principales données sur l'Agirc et l'Arrco en 2014 ( AFP / L.Saubadu/A.Bommenel, abm/pld/sc )
- Augmentation du prix d'achat du point pendant trois ans, de manière à diminuer le rendement des régimes pour le futur retraité.
Le montant de la retraite complémentaire dépend du nombre de points Arrco (cadres) et Agirc (tous salariés du privé) accumulés. Alors que pour 1.000 euros cotisés, le salarié a actuellement 65,6 euros de rente, il n'aura plus que 60 euros dans trois ans. Economies escomptées: 100 millions.
- Ouverture avant le 1er janvier 2018 d'une négociation nationale interprofessionnelle pour définir la notion d'encadrement.
- Afin de "favoriser l'emploi des seniors", sera examinée lors de la prochaine négociation sur l'assurance chômage une contribution des employeurs aux régimes complémentaires de retraite sur le montant des transactions accordées suite à la rupture du contrat de travail.
A partir de 2019:
- Mise en place, à compter du 1er janvier et pour les générations nées à partir de 1957, d'un bonus-malus pour inciter les salariés à travailler un an de plus une fois qu'ils ont rempli les deux conditions nécessaires pour partir avec une retraite à taux plein (âge légal et durée de cotisation).
Un salarié disposant de toutes ses annuités et qui prendrait sa retraite à 62 ans, verrait sa retraite complémentaire amputée de 10% par an pendant deux voire trois ans, avant d'obtenir une retraite à taux plein à 65 ans.
En revanche, s'il travaillait jusqu'à 63 ans, ce malus temporaire serait annulé.
Avec l'arrivée des papy boomers à la retraite et le chômage de masse, l'Agirc et l'Arrco o
Avec l'arrivée des papy boomers à la retraite et le chômage de masse, l'Agirc et l'Arrco ont vu leurs déficits cumulés se creuser ( AFP/Archives / Damien Meyer )
Il bénéficierait pendant un an d'un bonus de 10% s'il restait deux ans de plus en activité, bonus qui grimperait à 20% pour trois ans de plus et 30% pour quatre ans de plus.
Les personnes pouvant partir dès 60 ans (carrières longues) et celles devant travailler au-delà de 62 ans pour avoir toutes leurs annuités seront également concernées par ce système, qui s'applique au maximum jusqu'à 67 ans.
Les nouveaux retraités exonérés de CSG seront dispensés, ceux qui sont soumis à son taux réduit pourront subir des décotes de 5% pendant 3 ans.
Des dérogations sont également prévues pour les salariés handicapés (50% d'incapacité) et les aidants familiaux.
Ce dispositif doit rapporter 500 millions d'euros en 2020.
- Création d'un nouveau régime réunissant l'Agirc et l'Arrco
- Augmentation des cotisations patronales via une augmentation de deux points du "taux d'appel", passant de 125 à 127%. Economies attendues: 800 millions d'euros.
Les cotisations aux régimes complémentaires sont calculées via deux taux, le "taux contractuel" et le "taux d'appel".
Le premier ouvre des droits: plus on cotise, plus on engrange de points, plus la retraite sera élevée.
Le "taux d'appel" n'ouvre en revanche pas de droits : même si on cotise plus, la pension ne sera pas plus élevée, ce qui permet de remplir les caisses des régimes.
- Nouvelle répartition des cotisations à l'Agirc à hauteur de 60% à la charge de l'employeur et de 40% à la charge des salariés (contre respectivement 62 et 38% actuellement), comme c'est le cas à l'Arrco.

Mutuelle 2016 : position CFTC-BPCE SA


Comme suite à la dernière des trois réunions d’information entre la DRH et les quatre organisations syndicales représentatives BPCE SA, avant-hier mercredi 28 octobre matin, sur l’évolution 2016 du contrat de complémentaire-santé BPCE SA,

voici la position de la CFTC-BPCE SA.
_______________________________

La CFTC-BPCE SA souhaite que soit écartée l’hypothèse d’un troisième étage «non-responsable» de prestations, et serait prête à valider pour sa part un dispositif à deux étages intégralement «responsable» incluant, dans le second étage, des prestations élargies par rapport au «paquet» actuel.

Comme elle l’a fait dès la première réunion (juillet) et entretemps confirmé par écrit, la CFTC-BPCE SA émet des doutes, malgré les assurances qui à cet égard auraient été fournies par BPCE-Mutuelle, quant à la conformité in fine de prestations non-responsables :
  • à la «doctrine» susceptible d’être sur ce point émise par la Mutualité française
  • ou, en tout état de cause, à la vocation mutualiste-coopérative, normalement intacte à ce jour, d’un groupe tel que BPCE.

En vue de signer l’avenant ou les avenants évoqué(s) en fin de séance, la CFTC-BPCE SA est prête à contribuer à l’élaboration d’un argumentaire tous syndicats confondus à l’appui de la demande d’un approfondissement ET d’un élargissement des prestations - le cas échéant ventilés entre mesures 2016 et mesures à moyen-terme, à condition que leur examen soit formellement prévu et garanti.

Selon la CFTC-BPCE SA, les améliorations devraient porter, notamment, sur les postes de consommation médicale-«phares» que sont le dentaire et l’optique, les conditions matérielles d’hospitalisation, ainsi que sur le poste – qui fut innovant, mais ne l’est plus - du «bouquet» de médecines douces.

Une mutuelle telle que la nôtre peut continuer à promouvoir concrètement et à installer progressivement dans les pratiques le recours à ce type de médecines ou para-médecines.
Le maintien d’un plafond de cinquante euros par séance (à la fois raisonnable et réaliste en Ile-de-France) et le remboursement sur facture contribuent à tenir à distance la tentation d’abus tarifaires par les praticiens et d’anti-sélection par les patients.

La CFTC-BPCE SA est consciente du fait qu’engager à deux mois de l’échéance un processus d’appel d’offres serait périlleux.

Elle confirme néanmoins souscrire pleinement à l’impératif de principe d’une telle démarche, que l’employeur avait délibérément escamotée lors des débats initiaux entre l’été et l’automne 2010.

La CFTC-BPCE SA n’apporterait donc sa signature aux projets de modifications 2016 que si était pris l’engagement de procéder, de façon suffisamment anticipée, à un appel d’offres à l’issue de la prochaine période de cinq ans.

Il est anormal que BPCE-Mutuelle, sur la base
  • de sa solidité au sens de Solvency-II
  • de la connaissance historique qu’elle a de la protection sociale appliquée à son sociétariat «captif»
  • et de sa cote a priori flatteuse au sein de la FNMF

puisse être exemptée, par simple décision patronale (de surcroît non-collégiale, non-discutée et non-commune aux trois pans majeurs du Groupe BPCE : réseaux BP, CE et filiales), d’un processus d’appel d’offres s’agissant de la complémentaire-santé des personnels de l’organe central du Groupe.

Enfin, la CFTC-BPCE SA appelle de nouveau les décisionnaires concernés à rendre, par les voies institutionnelles existantes, enfin conforme à sa représentativité réelle au sein de BPCE SA la capacité du syndicat à participer aux instances délibératives de BPCE-Mutuelle.

D’autant que cette participation s’est révélée active et constructive lorsqu’elle a pu informellement exister de 2011 à 2013 (strapontin d’auditeur au conseil d’administration), et que la CFTC-BPCE SA juste avant d’être évincée venait
  •  d’une part, de remporter un siège à l’assemblée générale en jouant pour la première fois un jeu électoral pourtant peu favorable aux candidats soutenus par des sections syndicales minoritaires
  • d’autre part, de publier un hommage aux «grands anciens» fondateurs de la structure, pourtant très éloignés d’elle dans le paysage syndical du Groupe.

29 octobre 2015

Pour la CFTC, "il n'est pas concevable que chaque entreprise soit en situation de faire sa loi"

La CFTC soutient la logique de renforcement du dialogue social d’entreprise, mais fixe un certain nombre de garde-fous pour éviter que "chaque entreprise soit en situation de 'faire sa loi'". Par exemple, la confédération préfère que les branches professionnelles continuent à pouvoir fixer des "règles impératives", plutôt que de prévoir des règles supplétives en cas d’absence d’accord, comme le préconise Jean-Denis Combrexelle dans son rapport de septembre dernier. L’organisation syndicale a transmis au ministère du Travail sa contribution sur les suites à donner au rapport de l’ancien DGT, l’exécutif devant prochainement présenter les grandes orientations sur lesquelles seront consultés les partenaires sociaux, avant la finalisation d’un projet de loi attendu pour début 2016.

cftc-constructif2.png
"Si la CFTC partage avec [les conclusions de Jean-Denis Combrexelle] une vision plus ouverte, plus décentralisée du dialogue social, elle en rejette cependant les excès qui conduisent à une inversion de la hiérarchie des normes. Dit autrement, il n’est pas concevable pour la CFTC, que chaque entreprise soit en situation de 'faire sa loi'", indique l’organisation syndicale, dans le document transmis aux pouvoirs publics sur les suites à donner au rapport de l’ancien DGT. Myriam El Khomri doit présenter à Manuel Valls, ses "propositions" début novembre 2015 - probablement le 3 ou le 4 -, avant de relancer une séquence de consultations puis de finaliser un projet de loi pour début 2016.

RENFORCEMENT DE LA HIÉRARCHIE DES NORMES

La CFTC ne rejette pas la proposition d’une "nouvelle architecture des normes sociales" au travers des "Accords sur les conditions de travail, le temps de travail, l’emploi et les salaires", pour lesquels serait mené un "travail de clarification consiste[ant] à établir, à l’intérieur de chacun de ces piliers, ce qui relève de l’ordre public et ce qui relève, à titre principal, de la négociation". Ceci étant, la CFTC défendra le principe d’accord majoritaire à 50 % d’engagement et "veillera à ce que [les possibilités de dérogation] s’inscrivent dans un cadre dont les piliers, eux, ne sauraient être négociables". Parmi les "piliers" mentionnés, figurent la durée légale du travail, le Smic ou encore "les règles d’ordre public en matière de sécurité et de santé au travail".
Contrairement aux conclusions de Jean-Denis Combrexelle qui préconise des mesures supplétives, la CFTC "défend […] une architecture de négociation où chaque branche aurait la possibilité de définir ses règles impératives", appelant ainsi "à un renforcement de la hiérarchie [des normes] actuelles"

Notre Avis:
  • Chacun peut imaginer, du danger qui pourrait résulter de négociations et 
de la signature d'accords entre les DRH et certains syndicats majoritaires localement.
  • Des accords dérogeant totalement au droit du travail pourraient être 
mis en oeuvre, au niveau d' entreprise comme "BPCE Sa", où, un syndicat est 
majoritaire dans l'entreprise, mais non représentatif au niveau national 
interprofessionnel.

28 octobre 2015

CFTC BPCE Sa: Assurance vieillesse, des milliers de retraités toujours sans pension

LE FAIT DU JOUR. Même s'il y a du mieux, le versement de la première pension tarde encore parfois à venir.


 Le décret, adopté cet été, ne résout pas toutes les situations.


Daniel Rosenweg | 27 Oct. 2015, 07h08 | MAJ : 27 Oct. 2015, 07h46
le parisien.fr

Ils sont encore des milliers. Des milliers d'hommes et de femmes ayant atteint l'âge de la retraite et qui s'impatientent, voire paniquent, devant les retards de leur caisse de retraite pour valider leurs droits. Difficile de dire combien de personnes ont été confrontées cette année au paiement d'une première pension qui tarde à venir.

On parle de 8 000 concernant la Caisse nationale d'assurance vieillesse (Cnav).


Un chiffre que ne confirme pas son directeur, Pierre Mayeur, qui se borne à expliquer que « 3 à 4 % des dossiers » connaissent des retards, « pour des raisons diverses qui ne sont pas toujours le fait de la Cnav ». 3 %, voilà qui représente tout de même plus de 23 700 dossiers pour l'année 2015. Et c'est sans compter les retards de liquidation de pension dans les régimes spéciaux, comme ceux de la SNCF ou de la RATP, dont on ne sait rien. Ou celui de ces professions libérales qui dépendent de la Cipav (Caisse interprofessionnelle de prévoyance et d'assurance vieillesse) et où certains attendent jusqu'à... quatre ans pour toucher leur premier euro de retraite de base.

Pour ceux qui sont pris dans les mailles du filet administratif, la situation peut tourner à la catastrophe. Car ces retraités en attente de validation sont souvent sans aucunes ressources
A l'image de Nicole, 66 ans, qui a attendu dix-huit mois avant que la Cnav ne lui verse sa retraite alors même que planait sur elle une menace d'expulsion de son logement.

Un nouveau droit opposable très limité

C'est pour éviter ces situations que la ministre de la Santé, Marisol Touraine, a publié en août un décret prenant effet le 1er septembre 2015 (le 1er janvier 2016 pour les adhérents de la Mutualité sociale agricole et du Régime social des indépendants RSI). Il oblige la Cnav à verser une estimation de la pension dès lors qu'elle n'aura su instruire complètement un dossier au terme d'un délai maximum de quatre mois. Ce décret crée même un droit opposable, c'est-à-dire qu'il s'impose sans discussion. Bon nombre de retraités ont cru être concernés par ce texte progressiste. Mais le décret ne concerne que les dossiers déposés après le 31 août. Et il ne concerne pas les régimes spéciaux. Le défenseur des droits, Jacques Toubon, a d'ores et déjà prévenu qu'il entendait « contrôler la bonne application de la loi ».

La réforme de 2012 sur les carrières longues continuant d'accroître le travail des caisses et le vieillissement de la population s'accentuant, il serait peut-être temps de simplifier et les procédures et l'organisation de notre système de retraite qui ne compte pas moins de quarante régimes différents.


Un décret salutaire mais qui fait des exclus
Marisol Touraine a sans doute cru bien faire. Désireuse de mettre fin aux retards importants constatés dans le versement des retraites de base au début 2015, la ministre des Affaires sociales a publié le 19 août dernier un décret instaurant « une garantie de versement d'une pension [...] aux assurés qui déposent une demande complète au moins quatre mois avant la date de départ prévue ». En clair, les organismes disposent de quatre mois maximum pour liquider une retraite (la transformation des droits à la retraite en versement effectif d'une pension) à compter du dépôt du dossier, faute de quoi, ils doivent verser une estimation de cette pension. Cette mesure, qui garantit un revenu aux nouveaux retraités, a pris effet le 1er septembre pour les assurés du régime général (dépendant de la Cnav, Caisse nationale d'assurance vieillesse), et prendra effet « le 1er janvier 2017 au plus tard » pour les ressortissants de la Mutualité sociale agricole (MSA) et du Régime social des indépendants (RSI).

Une garantie bienvenue, mais qui, à bien y regarder, laisse beaucoup de néoretraités sur le carreau.

D'abord, les bénéficiaires d'une pension de réversion ne sont pas concernés par ce décret, qui ne fait référence qu'à la retraite dite de base. La CFDT-Retraités a d'ailleurs adressé le 2 septembre dernier à la ministre un courrier pour s'émouvoir de cet oubli. Son auteur, Dominique Fabre, secrétaire général du syndicat, y réclame une « modification du décret afin de rétablir l'égalité de traitement entre les assurés ». Le syndicat notait au passage que les bénéficiaires des pensions de réversion sont souvent des personnes à faibles revenus, voire sans aucuns revenus au décès de leur conjoint.
L'autre anomalie, que personne n'a encore pointée, c'est que ce décret a tout simplement oublié les retraités dépendant des 36 régimes spéciaux, comme celui de la SNCF, des pompiers, des militaires, des fonctionnaires... ou, beaucoup plus ennuyeux, celui de la Cipav.

 Or, les jeunes retraités dépendant de cette caisse de retraite des professions libérales attendent jusqu'à quatre ans pour percevoir le premier euro de pension... ! Fâcheux oubli

27 octobre 2015

CFTC BPCE Sa : Élections professionnelles , attention à la liste d'émargement




mainimage.jpgPour la Cour de Cassation (arrêt du 30 septembre 2015), "est de nature à affecter la sincérité des opérations électorales" le fait que les membres du bureau de vote n'aient pas tous signé la liste d'émargement.
Pour la Cour, cela constitue "un irrégularité justifiant à elle seule l'annulation des élections".
Même si cette obligation est sans effet sur le résultat du scrutin, la sanction est nette : annulation du scrutin.
Il ne faut pas oublier que les modalités d'organisation et de déroulement des opérations électorales sont subordonnées "aux principes généraux du droit électoral", tels qu'inscrits dans le code électoral. 
 
cftc paris







26 octobre 2015

CFTC BPCE Sa: AGENDA de la semaine du 26 au 30/10/15

La section CFTC de BPCE Sa vous souhaite une bonne semaine.
Au programme:

Lundi:
  • CHSCT extraordinaire.

ORDRE DU JOUR
  • 1. Approbation du PV de la réunion du 22 juin 2015, prolongée les 2 et 21 juillet 2015
    2. Suite du rapport d'enquête de l'Inspecteur du travail au sein de la Direction du
    Secrétariat Général-Direction Juridique Groupe. 
Notre Avis : cette enquête avait donné lieu au tract intersyndical ( syndicats minoritaires) du 2/10, qui avait été suivi par un mail de la DRH Groupe
Jeudi:
  • Comité d'entreprise

ORDRE DU JOUR
  • REUNION DU 29/10/2015
    1. Approbation des procès-verbaux du 24 septembre et 15 octobre 2015
    2. Information consultation du Comité d'Entreprise sur l'évolution de l'organisation de la Direction des ressources humaines et de la communication interne groupe 
    3. Informations complémentaires sur l'évolution du schéma capitalistique du projet ( Papyrus)

    4. Information sur la démarche de labellisation égalité Hommes/Femmes présentée à la commission égalité professionnelle 
    - Compte rendu de la Commission égalité professionnelle
    5. Evolution des effectifs au cours du 3 éme trimestre 2015 
    6. Information consultation du Comité d'entreprise sur des demandes de dérogation au repos
    dominical  (6 !)
    7. Point d'information sur le transfert des salariés de BPCE à BPCE IT
    8. Adhésion aux œuvres sociales et culturelles du CE BPCE par le GIE HRS (habitat en région services)
    9. Point sur les activités sociales et culturelles
    10. Compte rendu du Conseil de surveillance du 30 septembre 2015
    11. Points divers

Vendredi
  • Commission paritaire des banques

1.      Négociation Banque / Assurance taxe d’apprentissage dérogatoire : projet de texte (révision art. L6241-6)  (document joint)


2.      Approbation du relevé de décisions de la CPB du 19 juin 2015 (document joint)


3.      Modification de l’article 8-2 de la CCB : clôture de la négociation


4.      Négociation sur le parcours professionnel des représentants du personnel  (document joint)


  1. Questions et informations diverses
représentant à la commission, salarié de BPCE Sa: Philippe Malizia
La CFTC a trois représentants à cette commission négociant pour l'ensemble des banques AFB

CFTC BPCE Sa : Pérol mal parti pour être reconduit à la BPCE


Le patron de la BPCE François Pérol demande son renouvellement anticipé.
François Pérol risque de perdre son pari. Un mois après sa  son procès pour prise illégale d'intérêts, le patron de BPCE tente d'avancer le renouvellement de son mandat qui échoit en mai 2017… au moment de l'élection présidentielle. Il souhaite repartir pour quatre ans afin d'éviter cette échéance et rester en poste jusqu'en 2019. Les actionnaires, Banques populaires et Caisses d'épargne, se prononceront le 4 novembre. Cette semaine, les directeurs généraux des Banques populaires ont voté à une courte majorité (10 voix contre 8) contre son renouvellement anticipé. Un signal fort alors que les dirigeants des Caisses d'épargne se réuniront mercredi pour voter.

"Pas de raison de précipiter les choses"

Dans un groupe très politique qui fonctionne par consensus, un affrontement est difficile à imaginer sur le cas de François Pérol, qui ne fait pas l'unanimité. "Le sentiment général est qu'il n'y a pas de raison de précipiter les choses", explique un cadre de la banque. "On ne touche pas à la gouvernance au gré des événements, ajoute un autre. On verra dans deux ans." En 2012, le patron de BPCE avait avancé la reconduction de son mandat un an avant son échéance.
Les manœuvres battent leur plein en interne. Le nouveau président du conseil de surveillance, Pierre Valentin, a écrit aux administrateurs pour leur recommander de renouveler Pérol, qui avait aidé à sa nomination en mai. Un autre de ses soutiens, Jean-Marc Carcélès, patron de la Caisse d'épargne Bretagne-Pays de Loire, a relayé ce courrier auprès des dirigeants des Caisses d'épargne. "Elle a été mal reçue par certains", pointe l'un d'entre eux

JDD.fr

23 octobre 2015

CFTC BPCE Sa: Magnifique performance de la CFTC à la BRED.

La CFTC est devenue la première organisation syndicale de la BRED, avec 34.65% des voix.

L'UNSA est en chute libre, passant en 2 élections de 48.89% des voix à 32.46%

La CFDT qui était absente lors des deux précédentes élections totalise 11.25%

Un très grand bravo à nos collègues de la CFTC.



Ps : ne dites pas à F Pérol que nous sommes première OS de la BRED, il pourrait croire que nous avons des liens avec O Klein

CFTC BPCE Sa: Prud'hommes- de 2004 à 2013 : des actions moins nombreuses mais toujours plus contentieuses.




( source : cftc paris)
Dans une note publiée par le ministère de la justice, deux chercheuses, Mesdames Maud Guillonneau et Evelyne Serverin, analysent les évolutions de la juridiction prud'homale entre 2004 et 2013.

ministre_de_la_justice_france_-_logo.pngAu cours de la période 2004-2013 les conseils de prud’hommes ont reçu annuellement autour de 200 000 demandes au fond et en référé, effectif stable depuis 20 ans. A partir de 2009, avec la montée en charge de la rupture conventionnelle, l’évolution du nombre d’affaires n’est plus corrélée avec celle du nombre d’inscrits à Pôle emploi pour des fins de CDI (hors démission). Dans le détail, les tendances confirment le durcissement des affaires observé au cours de la décennie antérieure.
Les demandes se concentrent sur la contestation du motif personnel de licenciement, de 66% en 2004 à 76% en 2013. La proportion des demandeurs de 50 ans et plus est en hausse (21% en 2004 contre 34% en 2013) et le taux de recours des 50-64ans qui ont fait l’objet d’un licenciement a très fortement augmenté (de 20% en 2004 à 37% en 2013). La part des décisions ne tranchant pas le litige marque un recul (de 45% à 40%), ainsi que la proportion des affaires qui se terminent devant le bureau de conciliation (de 16% à 9%). Le temps de la procédure prud’homale s’est allongé, de 12 mois en moyenne en 2004 à 16 mois en 2013, avec d’importantes variations, accentuées par la concentration des affaires dans un nom dans un nombre de plus en plus réduit de conseils.
Le taux d’appel a fortement augmenté au fond (de 62% à 67%), donnant une place croissante aux affaires prud’homales dans les affaires traitées par les cours d’appel (de 24% à 28%). L’augmentation du nombre de décisions prud’homales déférées en appel de 2004 à 2013 a pesé plus fortement sur les deux cours d’appel qui traitent un quart des affaires (Paris et Aix-en-Provence), conduisant à un accroissement de leur durée moyenne de traitement des recours prud’homaux de 16 à 19 mois.

22 octobre 2015

Infos CFTC BPCE Sa: Augmentations de salaires


CHALLENGES PUBLIE UNE ENQUÊTE SUR LES SALAIRES, VOICI LA PREMIÈRE PAGE. VOUS RETROUVEREZ LA SUITE DANS CHALLENGES N°449




Notre Avis:

Vous retrouverez dans cet article, l'encart suivant:

 Nous avions déjà présenté cet arrêt de la Cour de cassation du 6 mai et ses conséquences.

  • Si vous n'êtes pas augmentés (aucun critères objectifs pour le justifier), 
    • par exemple, vous n'avez pas eu d'objectifs annuels et que l'on ne peut donc pas juger de votre travail, 
      • vous pouvez contester cette situation en justice.
Bientôt des actions sur ce thèmes.



21 octobre 2015

Blog BPCE Sa : Direction la Transylvanie !

BLOG CFTC BPCE Sa : Le nombre de Pages lues, depuis la création du blog, correspondra à la population de Brasov ( Roumanie)

 Nouvelle étape pour le Blog CFTC BPCE Sa: Direction la  .







Merci grâce à vous, le nombre de pages lues ne cesse d'augmenter 


Le nombre de consultation en :

  • Septembre 2015 était de 9605
  • Septembre  2014 était de 6809
  • Septembre 2013 était de 3559
  • Septembre 2012 était de 3267

    Vous appréciez notre travail et nous suivez de plus en plus, merci, merci, merci.


    L'article le plus lu est "Nouveau dérapage à l'Inspection Générale de BPCE Sa" ( au top dix, des consultations mensuelles depuis le 13/12/13)  8034 en consultations, accès direct), les suivants sont  "Nouvelle défaite judiciaire pour F Pérol", puis "Procés de F Pérol"


    situation au 20/10/15


    Les consultations des 985 articles publiés, sont en progressions constantes 





    Les onglets les plus consultés sont:


    31 août 2015
    4017








    28 mars 2013
    2609








    15 mai 2013
    2115








    11 janv. 2013
    2045








    21 mai 2013
    2011








    26 mars 2014, 2 commentaires
    1664








    1575


    Situation Précédente:

    31 août 2015
    3894
    28 mars 2013
    2608
    15 mai 2013
    2045
    11 janv. 2013
    1979
    21 mai 2013
    1950
    26 mars 2014, 2 commentaires
    1580
    1496



    Les principaux lieux de consultation sont:
    France
    215197
    États-Unis
    8598
    Allemagne
    5170
    Russie
    2106
    Royaume-Uni
    1747
    Ukraine
    1148
    La Réunion
    900
    Irlande
    866
    Pays-Bas
    589
    Thaïlande
    383

    Situation Précédente:

    France
    201287
    États-Unis
    8253
    Allemagne
    4761
    Russie
    1925
    Royaume-Uni
    1694
    Ukraine
    1103
    La Réunion
    843
    Irlande
    748
    Pays-Bas
    591

    Un merci particulier à nos lecteurs Irlandais, dont le nombre approche celui de la Réunion, mais aussi un grand merci à tous nos lecteurs du monde entier.


    Le nombre de pages lues a correspondu depuis la création du blog ( nov 2011), à l'équivalent de la population de certaines villes européennes  comme Bordeaux ( France, 239 399 hab),  de Portsmouth (Royaume Uni, 238 137 hab),  La Corogne ( Espagne , 245 923 hab), Gdynia ( Pologne, 248 042 hab)  , Aix-la Chapelle ( Allemagne, 240 086 hab) ou Gand (Belgique, 248 813 hab)


    Pour continuer nos visites géographiques, nous vous avions quitté  Porto( Portugal),  147ème ville d'Europe en Septembre.


    Notre prochaine étape en Europe sera  Brasov ( Roumanie ) ,  132 ème ville d'Europe avec  253 200 hab